De près ou de loin, une personne peut nous toucher, par un silence, un sourire, un regard, une émotion, une présence... Aussi quand cette dernière nous quitte, on ne peut se raccrocher qu'aux souvenirs... Ainsi, une odeur, un lieu, une musique, un texte, une photo, une chanson, une image peuvent nous remémorer les bons comme mauvais moments, les rires comme les pleurs, ces échanges qui nous ont fait grandir, qui nous ont construits...
Les absences éphémères, plus ou moins longues peuvent nous fragiliser. Les absences définitives nous amènent vers le chagrin, le remord... En boucle, notre coeur et notre esprit nous font ressortir des bandes d'images, des films de nos vies, de nos souvenirs, de ces moments partagés.
Par courage et pour l'hommage, il faut se raccrocher à nos souvenirs . Nous devons puiser des forces et nous recentrer sur ce présent larmoyant qui s'atténuera au fil des mois, des années... Il n'y aura pas d'oubli pour les êtres chers qui nous ont quitté et qui ont été nos modèles...
L'ange qui part au paradis commence une nouvelle vie. Et bien que physiquement, l'être perdu n'est plus près de nous, à nous parler, nous toucher, nous embrasser... son esprit est omniprésent... Il vit en nous, observe d'en haut, nos actes, nos émotions, nos cheminements.
Alors, oui durs sont ces moments où l'on tombe en faiblesse, en tristesse. Pour survivre et rendre l'être cher perdu "immortel", il faut parfois se regarder devant le miroir et se laisser persuader que le trésor laissé mérite d'être entretenu, enrichi et transmis de génération en génération... Les souvenirs que l'on a, nous donnent des ailes qui, la nuit durant, nous permettent de rejoindre l'ange envolé...
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De près ou de loin, une personne peut nous toucher, par un silence, un sourire, un regard, une émotion, une présence... Aussi quand cette dernière nous quitte, on ne peut se raccrocher qu'aux souvenirs... Ainsi, une odeur, un lieu, une musique, un texte, une photo, une chanson, une image peuvent nous remémorer les bons comme mauvais moments, les rires comme les pleurs, ces échanges qui nous ont fait grandir, qui nous ont construits...
Les absences éphémères, plus ou moins longues peuvent nous fragiliser. Les absences définitives nous amènent vers le chagrin, le remord... En boucle, notre coeur et notre esprit nous font ressortir des bandes d'images, des films de nos vies, de nos souvenirs, de ces moments partagés.
Par courage et pour l'hommage, il faut se raccrocher à nos souvenirs . Nous devons puiser des forces et nous recentrer sur ce présent larmoyant qui s'atténuera au fil des mois, des années... Il n'y aura pas d'oubli pour les êtres chers qui nous ont quitté et qui ont été nos modèles...
L'ange qui part au paradis commence une nouvelle vie. Et bien que physiquement, l'être perdu n'est plus près de nous, à nous parler, nous toucher, nous embrasser... son esprit est omniprésent... Il vit en nous, observe d'en haut, nos actes, nos émotions, nos cheminements.
Alors, oui durs sont ces moments où l'on tombe en faiblesse, en tristesse. Pour survivre et rendre l'être cher perdu "immortel", il faut parfois se regarder devant le miroir et se laisser persuader que le trésor laissé mérite d'être entretenu, enrichi et transmis de génération en génération... Les souvenirs que l'on a, nous donnent des ailes qui, la nuit durant, nous permettent de rejoindre l'ange envolé...
Écrit par : La luciole de Sophie | 11/10/2012