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04/09/2012

Pensée du soir...

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Commentaires

Apprendre à aimer au-delà de l'absence. Accepter la rupture sans bannir l'autre, garder le meilleur. L'oubli sera alors le pansement des blessures subies.

Clopoète

Écrit par : clopoète | 07/09/2012

Les sentiments du coeur sont difficiles à canaliser. Comme des électrons libres, ils nous donnent des ailes ou nous enfoncent dans nos abysses les plus profondes. Ils nous renforcent et nous fragilisent aussi paradoxalement que cela puisse paraître.
Difficile d'aimer au-delà de l'absence de l'autre : Personnellement, je trouve le silence pesant, une souffrance qui supure au fil du temps qui passe. On peut aimer ainsi, à travers des souvenirs, des images, des rêves... Mais la sensation de manque désarme littéralement. Le besoin de toucher, d'entendre, de sentir, de partager... L'absence est longue...
Accepter la rupture sans bannir l'autre... Oui, à mon sens, même si ce stade n'est pas sans blessure, ni douleur. Mais, il faut comme vous le dites garder le meilleur. Chaque âme est libre... Parfois, les chemins se croisent. Parfois, la route est longue...
En revanche, je ne pense pas personnellement que l'oubli panse les blessures subies. On ne peut pas effacer son ressenti, son vécu, ses sentiments. Qui peut oublier un regard, une personne chère ? Oublier, c'est comme poser un voile sur de nobles sentiments. Peut-être suis-je trop passionnée, sentimentaliste, possessive ? Je ne sais que dire... Mon coeur parle...

Écrit par : La luciole de Sophie | 07/09/2012

Tu as raison, on oublie jamais totalement. On pose une compresse sur la plaie. Dans les premiers temps, on la soulève souvent pour nettoyer la blessure. Au fur et à mesure la douleur se fait moins intense. Au final, il reste toujours une cicatrice, mais il est possible de la caresser du bout des doigts.

Clopoète

Écrit par : clopoète | 12/09/2012

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