12/08/2011
Adele : Someone Like You
Romantisme, romantisme quand tu nous prends...
{Quelqu'un comme toi}
J'ai entendu dire que tu t’étais installé
Que tu as trouvé une fille et que tu es désormais marié
J'ai entendu dire que tes rêves sont devenu réalités
Je suppose qu'elle t'a donné les choses que je n'ai pas su te donner
Vieil ami, pourquoi es-tu si timide?
Ça ne te ressemble pas de te retenir ou de te cacher derrière le mensonge.
Je déteste apparaître de façon impromptue, sans être invitée,
Mais je ne pouvais pas rester à l'écart, je ne pouvais pas lutter contre ça,
J'espérais que tu verrais mon visage,
Et que tu te rappellerais que pour moi, ce n'est pas fini.
Peu importe, je trouverai quelqu'un comme toi,
Je ne souhaite rien d'autre que le meilleur pour toi aussi,
Ne m'oublie pas, je t'en prie
Je me souviens tu disais :
"Parfois l'amour dure
Mais parfois il blesse aussi"
Parfois l'amour dure
Mais parfois il blesse aussi, yeah
Tu sais comment le temps passe,
Hier encore, c'était le meilleur moment de nos vies,
Nous sommes nés et avons grandi dans une brume d'été,
Liés par la surprise de nos jours de gloire.
Je déteste apparaître de façon impromptue, sans être invitée,
Mais je ne pouvais pas rester à l'écart, je ne pouvais pas lutter contre ça,
J'espérais que tu verrais mon visage,
Et que tu te rappellerais que pour moi, ce n'est pas fini.
Peu importe, je trouverai quelqu'un comme toi,
Je ne souhaite rien d'autre que le meilleur pour toi aussi,
Ne m'oublie pas, je t'en prie
Je me souviens tu disais :
"Parfois l'amour dure
Mais parfois il blesse aussi"
Parfois l'amour dure
Mais parfois il blesse aussi.
Rien de comparable,
Pas d'inquiétudes ou de soucis,
Les regrets et les erreurs sont des souvenirs que nous construisons nous-mêmes,
Qui aurait su à quel point ce serait doux-amer?
Peu importe, je trouverai quelqu'un comme toi,
Je ne souhaite rien d'autre que le meilleur pour toi aussi,
Ne m'oublie pas, je t'en prie
Je me souviens tu disais :
"Parfois l'amour dure
Mais parfois il blesse aussi"
Parfois l'amour dure
Mais parfois il blesse aussi.
Peu importe, je trouverai quelqu'un comme toi,
Je ne souhaite rien d'autre que le meilleur pour toi aussi,
Ne m'oublie pas, je t'en prie
Je me souviens tu disais :
"Parfois l'amour dure
Mais parfois il blesse aussi"
Parfois l'amour dure
Mais parfois il blesse aussi.
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09/08/2011
Un petit déjeuner littéraire (Sud-Ouest 26/07/2011)
Mon troisième article en tant qu'auteure, paru dans le journal "Sud-Ouest", suite à ma séance dédicace à la Médiathèque de Chaniers faite le samedi 30/07/2011 où je présentais le recueil chik-lit "Célibataire, mais... je me soigne !" dont ma nouvelle : "Le bonheur, ce n'est pas que du chocolat !" (PGCOM Editions)
Sur la photo vous pouvez voir de gauche à droite : Katy Chollet, mon ancienne professeure de français de 5ème au Collège Edgar Quinet de Saintes (17), moi, Lesley Ingram, anglaise passionnée de littérature et de poèsie, Joelle de Corte auteure de "L'éternité au bout des doigts - Dix-neuf ans à jamais (Editions APOPSIX).
Merci à Corinne David Audouin (Correspondante Sud Ouest) pour ce nouvel article , et à Béatrice Vedrenne (responsable de la Médiathèque de Chaniers) pour son accueil et sa générosité. Béatrice Vedrenne avait organisé un petit déjeuner littéraire fort sympathique et très chaleureux.
Merci aussi à tous ceux qui sont venus partager ce moment privilégié... Des petits plaisirs qui donnent des ailes pour la vie !
Cet article est également disponible sur le site de Sud-Ouest Journal :
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06/08/2011
Dors, dors, mon doux Alain (composé en souvenir de mon cousin décédé en août 2011)
Seul, silencieux, abandonné par les suivants,
On l’a déposé à Caen, par le souffle du vent,
Le laissant maître normand de ces cités,
De ce nouveau monde, éloigné des réalités.
Entouré et pourtant si seul devant ce sinistre spectacle
D’ardeur, de douceur angélique, où même les miracles
Accèdent dans des vallées profondes,
Là, où les cailloux et autres morceaux de terre s’enfoncent en ronde.
Lentement, sous nos pieds, nos sens se sont liés,
Comme un velours intense et bleuté
Se déverse en un fleuve parsemé
D'amour, d'amitié et de rosée.
Dors, dors, mon doux Alain,
Dors, doux Alain, de ton profond sommeil…
Dors, dors, mon doux Alain...
Inondée de pensées, je m’arrête un instant,
Sur le ruban d’argent : Tu es là, libéré ; Je te sens…
Tu contemples le vol des oiseaux migrateurs,
Qui, de très loin, t’apportent notre chaleur,
Saluent de leurs ailes tes étranges pensées,
Depuis ce 06 août 2011 où tu t’en es allé…
Nous regardons les jours qui peu à peu s’éveillent ;
Dors, doux Alain, de ton profond sommeil…
Nous aurons la nostalgie de ton ombre disparue,
De toi, ont eu raison cet handicap, ces griefs qui tuent.
Se cache à tes yeux l’étrange mélancolie :
Toutes les turbulences, méchancetés de la vie
Dors, dors, mon doux Alain,
Dors, doux Alain, de ton profond sommeil…
Dors, dors, mon doux Alain...
De ces cendres, plaques marbrées s’élevant vers le ciel
Dors, doux Alain, de ton profond sommeil…
Le temps passe vite, bien vite, trop vite,
Parfumé par la coupe des foins,
Sous la coupe tranchante d’un soleil mitigé.
Les jours s’en vont, s’effacent, s’effritent…
Mais, le temps avance, court, bien loin
Nous laissant impuissants et agacés
Et tu reprends ta route, le regard perdu,
Tu es là, mais où es-tu ?
Ton esprit se noie de douceur matinale
En te laissant seul dans le froid hivernal…
Dors, dors, mon doux Alain,
Dors, doux Alain, de ton profond sommeil…
Dors, dors, mon doux Alain...
Ne reste dans le ciel que ta belle hirondelle
De Caen, en Normandie, la fidèle,
Qui part à la recherche de l’eldorado ;
Pas besoin de paroles, ni de mot :
Dors, doux Alain, de ton profond sommeil…
Ta tendresse l’émerveille ;
Elle t’en fait la promesse,
Atténue quelque peu notre profonde tristesse.
De là-haut dans le ciel, elle veille sur toi ;
Nous le savons, nous le sentons, je le crois…
Elle cache sous ses ailes ceux que tu aimes,
Tous tes souvenirs, rêves et désirs que tu sèmes…
Dors, dors, mon doux Alain,
Dors, doux Alain, de ton profond sommeil…
Dors, dors, mon doux Alain...
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