Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

26/09/2012

SCORPIONS : ALWAYS SOMEWHERE

Bonne journée à toutes et tous...


{TOUJOURS QUELQUE PART}

J'arrive à 19 heures, la salle semble chaude
Je n'ai pas eu le temps de t'appeler aujourd'hui
Des rappels jusqu'à 23 heures, puis on mange chinois
Encore de retour à l'hôtel

J'appelle à ton numéro, la ligne est occupée
J'aimerais te dire "viens à moi"
Une nuit sans toi ne semble être qu'un rêve désenchanté
Mon amour, je n'ai pas la possibilité de te dire ce que je ressens

Toujours en déplacement
Tu me manques où que je sois
Je te reviendrai pour t'aimer de plus belle

Un autre matin, un autre endroit
Mon seul jour de libre est loin désormais
Mais chaque ville visitée me rapproche un peu plus de la fin (1)
Et me ramène à nouveau auprès de toi

Toujours en déplacement
Tu me manques où que je sois
Je te reviendrai pour t'aimer de plus belle

(1) le sens littéral est : chaque ville a fini par me voir

25/09/2012

Pensée du soir...

579973_280654945372066_347938486_n.jpg

Le temps des heures (extrait de Cruzadas Celtas)

 

Le temps des heures

 

pissenlit01.pngDans ce siècle, les saisons ne font que passer :

Nous naissons,  vivons, pour ensuite trépasser…

C’est le temps des heures, le temps des heures…

 

Anonymes, dénoyautés et pressés,

Désinvoltes, pressés et stressés,

Par un clic,  tourne la Grande Roue,

Cœur à deux rythmes,  aiguilles du grand Fou,

 

Dans ce siècle, les saisons ne font que passer :

Nous naissons,  vivons, pour ensuite trépasser…

C’est le temps des heures, le temps des heures…

 

Dans un effet irréel de balancier,

Le temps chronomètre se fait justicier,

Pour donner, montre en main, aux oubliés de l’histoire,

Une seconde, une minute, une heure d’espoir,

 

Dans ce siècle, les saisons ne font que passer :

Nous naissons,  vivons, pour ensuite trépasser…

C’est le temps des heures, le temps des heures…

 

De voir, un jour les pendules s’arrêter,

Plus de saisons ; les horaires ne feront que stagner,

Pour que les hommes respirent sereinement,

Une éternité, une vie, une année, un mois, un instant…

 

Dans ce siècle, les saisons ne font que passer :

Nous naissons,  vivons, pour ensuite trépasser…

C’est le temps des heures, le temps des heures…

Texte protégé